5 fausses raisons d’abandonner les campagnes d’emailing

Par Céline Andreani

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newsletters emailing

Raison 1 : L’emailing est mort. Plus personne ne veut en recevoir !

L’emailing a beaucoup souffert des pratiques liées à la collecte sauvage des adresses. Le respect des règles de bonne conduite (toute adresse collectée doit l’avoir été avec le consentement de l’internaute), la qualité du ciblage et du message sont les trois garants d’un bon taux d’ouverture 
 Les 3 règles à connaître pour générer un bon ROI sont celles que vous aimeriez voir vous-même respecter par les annonceurs.

  1. Il ne sert à rient d’arroser tout le monde : on ouvre un mail quand on se sent concerné.
  2. L’objet du mail doit être rédigé avec soin, en ayant en tête que la boîte mail est un espace conversationnel et non pas un canal de vente : on ouvre un mail, quand on se sent interpellé.
  3. Les campagnes d’emailings les plus efficaces sont celles qui sont intégrées dans une stratégie de prospection multicanal (téléphone, publipostage, réseaux sociaux). On ouvre en priorité les mails dont on connaît les expéditeurs.

 * Source Etude emailing.com 

Raison 2 : La plupart des mails de prospection partent dans les spam.

Pour ne pas être classé spameur par les FAI et les gestionnaires web, mieux vaut faire router sa campagne par un prestataire référencé et avoir une base à jour : un taux élevé de NPAI alerte les FAI qui balancent l’expéditeur en liste noire.
Les filtres anti-spam analysent le code utilisé lors de la transmission (attention aux accents mal gérés) et le contenu du message lui-même. Dans l’objet du mail sont donc à proscrire : les majuscules, les répétitions les points d’exclamation, et le vocabulaire des spameurs (gratuit, incroyable, etc.). Attention également aux mails trop lourds et aux trop grandes images.

Raison 3 :  Le taux d’ouverture des campagnes d’emailings ne cesse de baisser

L’emailing reste le premier canal de prospection, plébisicté par près de 98% des entreprises françaises. Une campagne bien orchestrée offre un taux de conversion 40 fois supérieur aux réseaux sociaux et reste bien moins onéreuse que le publipostage.
Voici quelques conseils à suivre pour lancer une campagne :

  • 1/3 des ouvertures: entre 17 heures et 22 heures. 
  • Tendance : la consultation matinale sur mobile.
  • 70% des consultations d’emails marketing se font dans la journée qui suit l’envoi.(*)

 * Source : étude réalisée par la plateforme wewmanager d’Emailstratégie entre juin 2013 et juin 2014 portant sur l’analyse de 140 000 campagnes emailing

Raison 4 : Gérer une campagne d’emailing c’est chronophage et compliqué.

Plus vraiment ! De nombreux prestataires (MailChimp, Cheetahmail, Send in blue… ) offrent à bas coût sur abonnement des plate-formes de gestion d’emailing avec des interfaces conviviales. Elles permettent d’intégrer des listes de différentes provenances, de les optimiser, de les segmenter.  Elles gèrent également les envois et proposent des outils d’analyse de résultats pour optimiser la vague suivante. Agrémentées de quelques plugs-ins, elles offrent aussi la possibilité de programmer des scénarios de réponses personnalisées.
 

Raison 5 : Ce qui marche, ce sont les campagnes en HTML5 et je n’ai pas de graphiste.

Ces plate-formes de gestion proposent également des bibliothèques de templates optimisés pour la consultation mobile et des outils de création simples à utiliser. Ne reste plus qu’à intégrer les images et le contenu.
Bon à savoir. 75 % des e-mails vers mobiles et tablettes son supprimés s’ils ne sont pas en responsive.
 

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