Lexique du marketing

Par Céline Andreani

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lexique marketing

Découvrez les définitions du marketing

  • AARRR : Cet acronyme désigne cinq métriques utilisées pour mesurer la performance d’une stratégie de marketing digital, et alignées avec les différentes étapes de l’entonnoir de conversion.
    Les lettres de l’acronyme se réfèrent aux mots suivants : Acquisition, Activation, Rétention, Recommandation, Revenus.
    Le modèle AARRR est également connu sous le nom de « Pirate Metrics ». Il a été mis au point par Dave McCure, un entrepreneur et business angel américain.
    Ce modèle a pour vocation d’aider les entreprises à identifier facilement les forces et les faiblesses de leur marketing digital, en se focalisant sur un nombre restreint d’indicateurs.
  • Adware : Contraction des mots anglais « advertising » et « software ». Un adware est un logiciel publicitaire qui diffuse des annonces sur l’interface d’un logiciel.
  • Adwords : C’est le nom de la plateforme de publicités en ligne créée par Google en 2000. Les publicités sur Adwords relèvent du SEA.
  • Agrégation de contenu : L’agrégation de contenu, plus communément appelée veille, est une action visant à identifier et regrouper des contenus sur une thématique donnée. Cette démarche permet aux entreprises de :
    • s’informer sur ce qu’on dit et ce qu’on pense d’elles (veille d’e-réputation)
    • se tenir au courant des informations utiles à leur avancement (veille métier)
    • surveiller la concurrence (veille concurrentielle).

    De nombreux experts ont également recours à la veille pour diffuser du contenu pertinent à leur audience, et ainsi faire ressortir leur expertise.

  • Annuaires en ligne : Ils fonctionnent selon le même principe que les annuaires papier traditionnels. Ils peuvent être thématiques ou généralistes. Ils proposent aux internautes des informations sur les entreprises recensées dans leur base de données. S’inscrire dans des annuaires en ligne est une bonne façon de travailler sa visibilité sur le web.
  • Appli mobile : C’est un programme téléchargeable et exécutable par un téléphone mobile. Les applis mobiles peuvent être payantes ou gratuites. De plus en plus d’entreprise développent leur propre appli mobile pour offrir un service client facilité et maintenir le contact avec leurs cibles. L’appli mobile est également très utile pour permettre un accès plus rapide et plus simple à ses services. De nombreux réseaux sociaux proposent une version mobile de leur service (Facebook par exemple) ou sont présents exclusivement sous la forme d’appli mobile (c’est notamment le cas de Snapchat).
  • ATAWAD : C’est l’acronyme de l’expression « Any Time, Any Where, Any Device », qui caractérise la façon dont la plupart des internautes se connectent sur le web. Ce terme a été proposé et rendu populaire par le consultant Xavier Dalloz, spécialiste des nouvelles technologies.
  • Backlink : Un backlink est un lien cliquable présent sur le web et pointant  vers un site internet.
    Les backlinks sont très recherchés dans le cadre d’une stratégie de référencement naturel. En effet, plus le propriétaire d’un site obtient de backlinks de qualité, plus le positionnement de son site dans les moteurs de recherche va progresser. On considère qu’un backlink de qualité est issu d’un site ayant lui-même  un bon référencement web et une bonne e-réputation.
  • Balise alt : Cette ligne de code HTML permet de décrire ce que représente une image intégrée sur un site web. La balise alt apparait :
    • temporairement pendant le chargement des images sur un site internet,
    • de façon définitive, si le débit de connexion est trop lent pour permettre d’afficher les images.

    La balise alt est importante d’un point de vue SEO. La renseigner et y inclure des mots-clés stratégiques permet d’améliorer le référencement de vos images.

  • Bannière (ou bandeau) : Elément publicitaire rectangulaire présent sur un site internet. La bannière héberge habituellement un lien vers le site annonceur. Le plus souvent, elle est présentée sous la forme d’une image ou d’une animation flash.
  • Big Data : La notion de Big Data désigne les données massives mises à disposition des entreprises à l’ère du cloud. Le Big Data vient révolutionner toutes les fonctions d’une entreprise. Il est caractérisé par 5 V :
    • Volume : entre 2013 et 2020, le volume de données produites devrait être multiplié par 10
    • Variété : les données produites sont structurées (ex : données issues d’un CRM) et non structurées (ex : données accessibles à travers des échanges sur un forum de discussion)
    • Vélocité : les données sont produites à un rythme effréné
    • Véracité : la véracité des données est un des enjeux du Big Data, les données collectées n’étant pas toujours fiables
    • Valeur : l’objectif d’une démarche Big Data est bien entendu la valorisation de la donnée.
  • Buyer persona : Les buyer persona sont des portraits-types des différents clients d’une entreprise. Principalement utilisés par la fonction marketing, ils l’aident à mieux cibler ses actions. Idéalement, les buyer persona sont définis à partir d’une analyse des données clients d’une entreprise.
  • Call to action : On appelle call to action l’ensemble des éléments présents sur un site internet qui incitent l’internaute à agir. Il s’agit notamment des boutons d’action proposant à l’internaute de s’inscrire à une newsletter, télécharger un document, poster un commentaire, etc.
    Les call to action peuvent également se présenter sous une forme purement textuelle. Par exemple, les entreprises terminent souvent l’écriture de leurs billets de blog par une phrase qui encourage les lecteurs à prendre contact avec elles.
  • Charte éditoriale : La charte éditoriale est un document opérationnel qui définit les lignes principales d’une action durable de marketing de contenu. Elle s’établit idéalement dès la création d’un blog d’entreprise, afin de déterminer :
    • les types de sujets qui seront traités sur le blog, en fonction des cibles visées,
    • la manière dont ils seront abordés : format des contenus (articles, infographies, présentations powerpoint…), ton employé par la marque, tailles des articles, etc.

    Une charte éditoriale est particulièrement utile lorsque plusieurs personnes contribuent à un blog, car elle permet de garantir l’homogénéité des contenus publiés.

  • Community manager : Le community manager assure le rôle de médiateur entre l’entité pour laquelle il travaille et sa communauté. Il est le porte-parole online et/ou offline de l’entreprise. Il travaille principalement sur l’animation de communautés, la recherche d’engagement et la visibilité sur internet. Ce métier est apparu aux alentours de 2009.
  • Cookies : Un « cookie » est un petit fichier texte qui s’enregistre sur le disque dur de l’internaute. Les cookies permettent de décrire au serveur l’activité en ligne de l’utilisateur et de garder en mémoire certaines informations le concernant. Les entreprises se servent de ces outils pour personnaliser leurs offres en fonction du profil des internautes.
  • E-commerce : On parle de e-commerce ou de commerce électronique lorsqu’une entreprise distribue des produits ou des services via des interfaces électroniques ou digitales. Les transactions s’effectuent à partir de terminaux divers : ordinateurs, mais aussi tablettes tactiles, smartphones, applications mobiles… Les personnes qui réalisent une activité de e-commerce sont appelées des e-commerçants.
  • Engagement : L’engagement envers une marque se mesure à travers les interactions des internautes avec elle. Il comprend des critères quantitatifs (nombre de partages sur les réseaux sociaux, de mentions de la marque, de « like »…) et qualitatifs (teneurs des commentaires, par exemple).
  • Entonnoir de conversion : L’entonnoir de conversion répond également au nom d’entonnoir de vente. Il représente les différentes étapes par lesquelles un prospect passe avant de devenir client d’une entreprise.
    Plusieurs versions de cet entonnoir existent. Sur le web, on considère généralement qu’il compte 5 étapes, de l’étranger à la marque au promoteur, en passant par les stades de prospect, prospect actif et client.
    La forme d’entonnoir permet de comprendre de façon visuelle que les clients finaux d’une entreprise sont moins nombreux que les prospects initialement acquis.
  • Footer : Aussi appelé pied de page. Il s’agit de la partie inférieure d’une page web. On y trouve généralement le copyright, les mentions légales ainsi que des liens vers les réseaux sociaux de l’entreprise.
  • Génération de leads (ou « lead generation » en anglais) : Dans un contexte digital, la génération de leads consiste à mettre en place un dispositif permettant à une entreprise d’identifier de nouveaux prospects sur le web. Ce dispositif s’appuie traditionnellement sur :
    • du marketing de contenu
    • un design de site optimisé pour la conversion des visiteurs en clients.
  • GAFA : Cet acronyme désigne 4 acteurs-clés du numérique : Google, Apple, Facebook et Amazon. On désigne également sous le nom de « Big Four » ces firmes américaines.
  • Google Analytics : C’est un outil gratuit d’analyse d’audience d’un site internet. Proposé par Google, il est utilisable uniquement en ligne. Il recueille des informations démographiques et comportementales sur les visiteurs d’un site internet, comme par exemple :
    • Leur provenance
    • Leurs centres d’intérêts
    • Leur comportement sur le site analysé

    Google Analytics comptabilise également le nombre de visiteurs d’un site web, ce qui permet de voir si ce dernier parvient à acquérir et fidéliser une audience. D’une façon générale, l’outil est utilisé pour piloter l’efficacité d’une stratégie digitale.

  • Google Maps : C’est un service gratuit de cartographie en ligne, conçu par Google. Il propose à l’internaute des plans, cartes et images satellites pour explorer le monde à des échelles variées. Ce service est très utile car il permet aux internautes de rechercher une destination, un itinéraire ou un service de proximité. Les entreprises ont donc tout intérêt à être présentes sur Google Maps, pour aider leurs clients à les localiser.
  • Growth hacking : Ce terme a été inventé en 2010 par Sean Ellis, un entrepreneur américain. Il désigne l’ensemble des pratiques innovantes de marketing digital permettant d’accélérer fortement la croissance d’une entreprise. Les personnes utilisant les techniques du growth hacking se nomment des growth hackeurs.
  • Guestblogging : On parle de guestblogging lorsqu’un internaute est invité à publier un contenu sur un blog qui ne lui appartient pas. Le guestblogging permet :
    • à l’invité, d’améliorer sa visibilité et son référencement naturel s’il peut placer dans l’article un lien renvoyant vers son site (backlink)
    • au propriétaire du blog, de bénéficier d’un contenu gratuit.
  • Header : Aussi appelé « en-tête ». On désigne par le nom de « header » la partie située dans le bandeau haut d’une page web. Le header accueille généralement le logo d’une entreprise ainsi qu’un menu de navigation sur le site. Il permet au visiteur de se repérer sur le site et de pouvoir rejoindre la page d’accueil à tout moment.
  • Inbound marketing : L’inbound marketing est une méthodologie notamment développée par l‘éditeur de logiciels américain Hubspot. Elle invite les marques à devenir un média à part entière en produisant et diffusant régulièrement des contenus sur leur site internet et leurs supports webmarketing (newsletter, réseaux sociaux…).
    Cette méthode permet aux marques de :

    • générer du trafic ciblé sur le site de leur entreprise
    • recueillir les informations des prospects qui manifestent un intérêt sur les contenus diffusés (commentaire, demande de téléchargement d’un livre blanc, etc).

    Les prospects sont ensuite contactés par la marque, à travers une démarche progressive et très personnalisée qui assure généralement un bon taux de conversion. L’inbound marketing est ainsi reconnue comme une solution respectueuse et non intrusive.

  • Landing page : En français, on les appelle des « pages d’atterrissage ». Il s’agit de pages web spécifiques, vers lesquelles un internaute est renvoyé lorsqu’il clique sur une proposition d’une entreprise (télécharger un livre blanc, s’inscrire à un webinar…).
    Les landing page sont caractérisées par leur design très épuré, qui permet de ne pas distraire l’internaute dans sa démarche. Elles sont très appréciées des entreprises car lorsqu’elles sont bien conçues, elles permettent d’atteindre de forts taux de conversion en ligne.
  • Lead nurturing : Le lead nurturing est une démarche qui consiste à accompagner les prospects d’une entreprise jusqu’au stade de client. Le lead nurturing s’appuie principalement sur :
    • le marketing de contenu, pour éduquer le prospect et lui faire prendre conscience de son besoin,
    • les emailing, pour maintenir un lien avec le prospect et le fidéliser.
  • Linkbuilding : Le linkbuilding consiste à construire un réseau de liens autour de son site internet. Cette pratique contribue à améliorer le référencement naturel d’un site. Une bonne stratégie de linkbuilding se concentre essentiellement sur l’obtention de liens issus de sites de qualité. Pour améliorer son linkbuilding, une entreprise peut :
    • mener des actions de guestblogging,
    • s’inscrire dans des annuaires,
    • publier des communiqués de presse avec un lien vers votre site,

    L’échange ou l’achat de liens sont en revanche déconseillés par Google.

  • Livre blanc : Le livre blanc est un document très complet, généralement proposé par une entreprise à ses prospects. Il a pour but de convertir ses lecteurs en clients.
    Les livres blancs se présentent le plus souvent sous la forme d’un livret électronique, téléchargeable gratuitement après que le prospect ait rempli un formulaire permettant de l’identifier et d’en savoir plus sur lui (nom, prénom, mail, poste et entreprise…).
    Les livres blancs permettent donc aux entreprises de générer des leads et de démontrer leur expertise, dans une optique de conversion.
  • Longue traîne : C’est un terme qui se rapporte à l’univers du référencement web. On parle de « longue traîne » lorsque les mots-clés sur lesquels une entreprise tente de se positionner génèrent peu de trafic à eux seuls, mais sont moins concurrentiels que des mots-clés plus généralistes.
  • Maillage interne : Ce terme définit le mode d’organisation des liens internes d’un site web. Travailler son maillage interne consiste à lier entre eux les différents contenus d’un site internet. Cette pratique permet d’optimiser la navigation sur un site internet, en renvoyant l’internaute vers des contenus complémentaires à celui qu’il est en train de consulter. Les interactions créées entre les différentes pages favorisent généralement les pages populaires ou la page d’accueil du site, en y incluant des liens vers des pages secondaires.
  • Marketing automation : Le marketing automation consiste à accompagner le prospect dans son parcours jusqu’à l’achat. L’automatisation permet, non seulement de gagner du temps dans la gestion des actions marketing, mais aussi de fiabiliser certaines actions. La solution intègre dans une plate-forme unique tous les moyens utilisés (e-mailings, SMS, site web, publicité…).
  • Marketing de contenu (ou « content marketing » en anglais) : Le marketing de contenu est une stratégie qui consiste pour une entreprise à proposer à ses cibles des contenus utiles et gratuits. Cette stratégie a pour objectif la fidélisation et l’engagement des lecteurs des contenus. Le blog d’entreprise constitue donc un élément-clé du marketing de contenu.
  • Mobile marketing : Véritable tendance de fond, le mobile marketing consiste à adapter son marketing pour les utilisateurs de téléphone portable. Il peut également s’agir d’intégrer à son plan marketing de nouvelles pratiques dédiées à ce public. Les campagnes d’envoi de SMS, notifications push, applis mobiles… sont quelques exemples de mobile marketing.
  • Mobinaute : C’est le nom donné aux personnes qui accèdent à des ressources internet depuis leur téléphone mobile. Les consommateurs utilisant de plus en plus leur smartphone pour consulter des informations sur les entreprises, ces dernières ont tout intérêt à optimiser leur site pour ce type de navigation.
  • Monétisation d’un site web : Il s’agit de générer un profit à partir d’un site internet. Plus précisément, la monétisation consiste à rentabiliser le trafic d’un site, en convertissant son audience en chiffre d’affaire grâce à des actions telles que :
    • l’affiliation
    • la vente de liens sponsorisés et d’espaces publicitaires
    • la vente directe de produit en ligne

    Le gain est variable et dépend surtout de la popularité du site.

  • Moteurs de recherche : Les moteurs de recherche sont des outils en ligne permettant de trouver des ressources sur le web à partir des requêtes qui leur sont soumises. Google est sans conteste le moteur de recherche le plus connu, mais il en existe beaucoup d’autres (Bing, Yahoo, Qwant…). Les moteurs de recherche peuvent être généralistes ou spécialisés. Les premiers permettent de trouver tout type de ressources, quels que soient leur format ou leur thématique. Les seconds se concentrent uniquement sur des ressources spécifiques : Youtube comporte par exemple un moteur de recherche permettant de trouver exclusivement des vidéos.
  • Native advertising (ou publicité native) : Il s’agit de contenus sponsorisés par une marque, qui participent à l’expérience utilisateur de l’internaute. La publicité sur les moteurs de recherche (SEA) est donc une forme de publicité native. Contrairement aux publicités traditionnelles, les publicités natives sont généralement bien acceptées par les consommateurs car elles leur apportent de la valeur.
  • QR Code : Apparu au Japon en 1999, le QR Code est un code barre en deux dimensions. Les lettres QR signifient « quick response », indiquant ainsi qu’il est facile de décoder le code. Ce dernier contient des informations numériques. Pour y accéder, il suffit de scanner le QR Code à l’aide d’un téléphone portable, équipé d’un appareil photo et d’une appli permettant de le lire. Les QR Code peuvent afficher des contenus (textes, vidéos, images…) mais aussi déclencher des actions (envoyer un email, déclencher un appel, ajouter une carte de visite à ses contacts téléphoniques, etc). La plupart du temps, ils se présentent sous la forme d’un carré à fond blanc, rempli d’éléments noirs de formes diverses. Ils peuvent cependant être personnalisés.
  • Référencement local : Le référencement local consiste être bien positionné dans les résultats des moteurs de recherche sur des requêtes locales (ex : « boulangerie Bordeaux »). Plusieurs moyens permettent d’améliorer le référencement local : marteler sa localisation dans ses contenus, s’inscrire dans des annuaires, être présent sur Google+…
  • Référencement naturel : Egalement appelé « SEO » pour Search Engine Optimization. Le SEO consiste à être bien positionné dans les résultats des moteurs de recherche, afin de gagner des parts d’audience sur le web. Il s’appuie principalement sur des contenus de bonne qualité, qui reprennent des mots-clés stratégiques liés à l’offre d’une entreprise. Le SEO demande des efforts constants pour maintenir les positions acquises.
  • Référencement payant : Egalement appelé « SEA » pour Search Engine Advertising. Le SEA consiste à diffuser des publicités sur les moteurs de recherche ou des sites partenaires des moteurs de recherche. Ces publicités sont cliquables et redirigent vers une page web de l’annonceur (« landing page »). Elles sont diffusées en bonne position des moteurs de recherche, ce qui fait du SEA une alternative intéressante au SEO. Le principal inconvénient du SEA est son coût.
  • Responsive Design : un design responsive est un design qui sait s’adapter aux différents terminaux de lecture sur lequel il est consulté. Un site en responsive design pourra ainsi être visité depuis un ordinateur, un téléphone mobile ou une tablette sans que cela n’impacte négativement l’expérience utilisateur.
  • Retargeting (ou remarketing) : En français, on parlera plutôt de « reciblage publicitaire ». Très utilisé par les e-commerçants, le retargeting est une technique de ciblage comportemental. Il consiste, pour un annonceur, à diffuser sur le web des publicités adressées aux consommateurs qui ont déjà consulté ses offres. Par exemple, si vous recherchez un iPad sur le site de la Fnac puis fermez la fenêtre et continuez votre navigation, vous verrez sans doute sur d’autres sites web des publicités pour des iPad diffusées par la Fnac. L’objectif d’une telle démarche est de ramener l’internaute sur le site qu’il consultait auparavant et de le pousser à aller au bout de sa démarche.
  • Snacking content : C’est un terme qui désigne les contenus courts, qui se consomment sur le pouce. Les snacking content peuvent prendre toutes les formes, et aborder toutes les thématiques. Cependant, ils remportent le plus d’engagement lorsqu’ils sont visuels et humoristiques, car cela les rend d’autant plus récréatifs. Ils s’utilisent aussi bien pour adresser des cibles B2B que B2C.
  • Spam : Un spam est un email non sollicité, qui arrive le plus souvent dans les courriers indésirables des clients mails. Les internautes ont la possibilité de signaler comme spam des communications qui les importunent, même si celles-ci n’ont pas été reconnues comme telles par leur logiciel de messagerie.
  • Stratégie digitale : La stratégie digitale permet d’identifier les actions sur le web nécessaires à une entreprise pour atteindre les objectifs qu’elle s’est fixée (meilleure e-réputation, plus grande notoriété, génération de leads, etc). Une stratégie digitale peut être globale, ou centrée sur une action précise (ex : les réseaux sociaux), en fonction des objectifs de l’entreprise. Elle se définit généralement suite à un audit concurrentiel et prend en compte les problématiques de l’entreprise (budget, ressources humaines, etc).
  • Teasing : Une action de teasing a pour but d’éveiller la curiosité d’un public. Elle s’appuie pour cela sur des messages énigmatiques (les « teasers »), qui vont l’interpeller et lui donner envie d’en savoir plus. Le teasing comprend donc une notion de suspense, d’inachevé. Un message final vient clore la communication, dévoilant le fin mot de l’histoire. En France, les termes officiels proposés par la Commission de terminologie sont « l’aguichage » pour le teasing, et « l’aguiche » pour le teaseur.
  • Tracking : Il s’agit d’analyser le comportement d’un utilisateur internet en observant ses actions sur le web. Le tracking s’appuie notamment sur des cookies. L’objectif du tracking est généralement de savoir :
    • D’où viennent les visiteurs d’un site web
    • Où ils se dirigent ensuite
    • Ce qu’ils font ou ce qu’ils recherchent sur le web.

    Ces données permettent aux entreprises d’établir des stratégies commerciales et marketing sur mesure pour mieux convertir leurs cibles.

  • Visibilité web : La visibilité web consiste pour une marque à être trouvée par les prospects qui la recherchent ou sont en quête d’une offre similaire. Une bonne visibilité web se travaille principalement par le référencement naturel.
  • Webinar : Le mot « webinar » est issu de la contraction des mots « web » et « seminar ». Les webinars sont des conférences en ligne animées par des experts. Ils sont généralement accessibles sur inscription, en direct ou en différé. Les webinars sont notamment utilisés par les entreprises dans le cadre d’une stratégie de lead generation. En français : webinaire.
  • Webmaster : On l’appelle aussi webmestre ou administrateur de site. Ses missions peuvent varier en fonction des structures dans lesquelles il évolue, mais on considère généralement qu’il s’occupe de la conception et de la maintenance des sites web. S’il peut également être amené à mettre à jour les contenus d’un site internet, ses compétences sont essentiellement techniques.

Source statistique : https://echangeurba.wordpress.com/2014/05/12/2013-2020-le-volume-de-donnees-de-lunivers-digital-multiplie-par-10-bigdatabx/

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